est revenu sur l'apprentissage junior, évoquant l'accord signé le 22 juin dernier entre l'Etat et quinze branches professionnelles qui s'étaient engagées à accueillir des jeunes dès 14 ans et à accompagner leur parcours professionnel à partir de 15 ans. Il a alors soulevé la question de l'adéquation entre les ressources financières des centres de formation d'apprentis (CFA) et les ambitions du plan de cohésion sociale gouvernemental visant à porter le nombre d'apprentis de 350 à 500.000.