a, quant à lui, souligné le vif intérêt qu'avaient présenté à ses yeux les travaux préparatoires du rapport, notamment les vingt-neuf auditions et les quatre déplacements. Il a déclaré que le rapport avait vocation à servir de guide pour l'ensemble des élus locaux.
a ensuite insisté sur le formidable potentiel des énergies renouvelables en France et présenté les différentes recommandations du rapport, en les regroupant en trois parties principales : développer une « culture de la chaleur », créer un cadre favorable et incitatif et fixer un cap stratégique pour l'avenir. En premier lieu, il a appelé à former les professionnels, convaincre les décideurs publics locaux (élus comme fonctionnaires) et sensibiliser les citoyens. En second lieu, il a exprimé le souhait de créer un cadre incitatif pour favoriser les énergies renouvelables, citant, entre autres mesures, l'instauration d'une TVA à taux réduit pour les réseaux de chaleur alimentés majoritairement par des énergies locales, le renforcement des moyens humains et financiers de l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (ADEME),, le rétablissement du fonds de garantie géothermie, ou encore la révision du plan national d'allocation des quotas de CO2. Enfin, il a appelé de ses voeux la définition d'un cap stratégique pour l'avenir, au travers de l'affichage d'objectifs nationaux forts et courageux et de la réalisation de « schémas territoriaux de développement des énergies locales ».