a avancé les principales raisons du faible bilan des contrats de professionnalisation pour adultes : les contrats de qualification qui les ont précédés étaient limités aux moins de vingt-six ans, ils sont peu prescrits par l'ANPE et l'UNEDIC, qui les connaissent mal et ont l'habitude d'orienter ce public vers des stages diplômants.
Par ailleurs, revenant sur les attaques parfois personnelles concernant le manque de transparence et de pilotage de la gestion paritaire, il a mis en avant le programme et le bilan des contrats de professionnalisation en matière d'insertion et l'augmentation du nombre d'apprentis. Il a reconnu que ce système a été géré à « comptes serrés » par souci de prévision pour accompagner la montée en puissance du dispositif et en vue de prendre en charge 500 000 apprentis et 200 000 contrats de professionnalisation. Les refus de contrats et les dérogations ont aussi fait réagir et sont largement retracés dans la presse.