s'est déclaré en accord avec l'idée de laisser au Dif le temps de prendre sa vitesse de croisière, tout en notant que des améliorations pouvaient être envisagées, telles qu'une mutualisation des financements facilitant la transférabilité sans contraindre les entreprises à constituer des provisions. Il a évoqué la possibilité d'associer les partenaires sociaux à l'élaboration du PRDF et de donner à celui-ci une valeur d'engagement. Il a enfin noté que la politique des CPNE semblait susceptible de connaître des à-coups.