a confirmé les difficultés structurelles de la filière, estimant que l'outil industriel n'était pas à la hauteur de la forêt française. Il a souligné, pour le déplorer, qu'alors que les tempêtes de 1999 avaient entraîné la mise soudaine sur le marché de l'équivalent de trois années et demi de production, le sciage avait stagné en France et avait même reculé pour les résineux. Il a signalé que les coopératives forestières privées tâchaient de développer des réponses adaptées aux besoins des clients industriels ou du bois-énergie. Il a également jugé que la mise en place de contributions volontaires obligatoires (CVO) illustrait la volonté d'évolution des acteurs du secteur.