Nous souhaitons que le commissaire du Gouvernement puisse faire connaître la position de l'Etat mais, comme parlementaires, nous savons trop bien que l'exécutif peut infléchir le débat dans une institution par le seul fait d'en maîtriser l'ordre du jour. Or, l'opérateur historique est en position dominante en matière de télécommunications et l'Etat en est actionnaire à 27 % : il y a un risque évident de conflit d'intérêts, contre lequel nous voulons protéger l'Arcep.