Vous avez dit que le SNIT faisait partie du Grenelle. Bordeaux est bloqué par des murs de camions qui remontent d'Espagne et du Portugal. Le périphérique est à deux fois deux voies et le pont d'Aquitaine à trois fois trois voies. Cela provoque un étranglement pénalisant auquel nous souhaitons mettre un terme. Votre collège Alain Juppé s'intéresse fortement à ce dossier et le président du conseil général vient de prendre position. Nous possédons l'emprise pour élargir le tronçon. C'est vital.