Gilles Bessero, directeur général du Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM) :
a répondu que tout était une question de dosage et de culture du risque. Les ouvrages de protection comme les digues sont faits pour s'inscrire dans la durée, mais il faut mesurer toutes les conséquences de s'installer dans des zones à risques.