a regretté l'absence d'une politique européenne de l'énergie, ajoutant qu'il n'était pas convaincu par les propositions de la Commission. Il a rappelé que l'ouverture à la concurrence du marché de l'énergie pour les entreprises avait conduit à une augmentation des prix de 20 à 30 %, obligeant le législateur français à envisager la mise en place d'une possibilité de retour aux tarifs régulés. Il a ajouté que l'augmentation des prix de l'énergie induisait aussi une perte de compétitivité des entreprises.