s'est dit « un peu effaré » de constater qu'après avoir voté une loi, modifiée depuis, en 1999 il fallait aujourd'hui en adopter une autre, sans qu'apparemment cela empêche la survenance périodique de drames, en particulier des morts d'enfants, causés par des agressions canines. Il a observé que les citoyens ne comprenaient pas cet état de fait et souhaiteraient que le législateur se montre plus incisif et plus efficace. Il a indiqué qu'en tant que maire, il estimait indispensable que tous les chiens divagants soient placés en dépôt. Il n'a pas jugé choquant que tous les membres d'une famille soient tenus d'avoir un permis, notant qu'il fallait avant tout sortir de la situation actuelle en trouvant des solutions efficaces.