En réponse aux différents intervenants, M. Dominique Mortemousque a indiqué :
- qu'il était effectivement nécessaire d'améliorer l'étiquetage des produits afin de mieux mettre en valeur leur origine nationale ;
- que la gestion par les pouvoirs publics de l'information et de la communication lors de la crise aviaire n'avait pas été optimale ;
- que le soutien des petits producteurs de volaille était en effet prioritaire et que le ministre en charge de l'agriculture, M. Dominique Bussereau, s'y employait ;
- que l'amélioration de la traçabilité des produits constituait le meilleur moyen de remédier à la fragilisation des filières alimentaires du fait des risques sanitaires.