Il est vrai que la mise à disposition de personnel central auprès des communes a donné lieu à des abus, mais les petites communes seraient désemparées si on les privait brutalement de renfort. L'amendement n° 31 ne saurait être retenu en l'état : ce qui est choquant, c'est que cette pratique concerne aussi des membres des cabinets ministériels. L'avis de la commission sera favorable si l'amendement supprime plutôt la mention des cabinets ministériels.