J'en viens à l'amendement n° 3 : dans le statut actuel, la possibilité pour le président, lorsque le bureau a été renouvelé, de provoquer une élection anticipée visait à dénouer une crise, à supprimer le risque de conflits sur la répartition des portefeuilles, pas à marchander. Demandons l'avis du gouvernement.