a tout d'abord estimé nécessaire que les soutiens au tourisme social, notamment au travers de l'ANCV, s'élargissent au-delà des salariés à d'autres catégories, fragiles par nature et dès lors d'autant plus exposées à la crise actuelle, telles que les jeunes, les retraités, les handicapés. Elle a souhaité que les réformes récentes du statut des travailleurs saisonniers soient complétées afin de le rendre enfin pleinement satisfaisant, en particulier en matière d'hébergement et de salaires, qui demeurent des points noirs malgré les efforts consentis par certaines collectivités territoriales. Faisant référence aux attentes de la clientèle, elle a jugé indispensable d'accroître les investissements dans la rénovation des équipements et de renforcer la professionnalisation de l'accueil et de l'animation touristiques. Enfin, elle s'est inquiétée des risques de dénaturation du « tourisme à la ferme », considérant que l'activité agricole des hébergeurs devait rester prépondérante.