a demandé si des études permettaient de déterminer les raisons pour lesquelles la France demeure la première destination touristique mondiale, avant d'observer que seul le respect de critères précis, figurant dans une charte, permettait de bénéficier du label « table d'hôtes » et de s'interroger sur la pertinence de l'intitulé du chapitre III du titre II du projet de loi, qui semble incriminer la fourniture de boissons alcoolisées dans le cadre d'une prestation d'hébergement.