Enfin, M. Daniel Raoul a considéré que, au regard des reproches formulés par les touristes, étrangers ou nationaux, l'effort devait bien davantage porter sur l'amélioration de l'accueil, pour l'ensemble des professions de la chaîne, que sur celle des équipements. Il a par ailleurs estimé que la question des taxis n'était pas liée qu'au tourisme et qu'il devenait essentiel, indépendamment du problème des « taxis clandestins », de mettre définitivement un terme aux difficultés résultant de la licence et de la concurrence déloyale de certains modes de transport.
Puis la commission a procédé à l'examen des articles du projet de loi.