a souligné que rien ne distinguait les élèves sans papiers des autres et que leur travail scolaire ne permettait pas de découvrir leur situation. Elle a toutefois observé que la précarité des conditions de vie des enfants d'étrangers en situation irrégulière rendait plus difficiles leurs études, ajoutant qu'ils ne participaient pas à certaines activités organisées à l'extérieur des établissements par peur des contrôles policiers.