a indiqué qu'il comptait, avec son collègue André Vantomme, suivre avec attention l'évolution des frais de fonctionnement des organismes multilatéraux auxquels la France contribuait et, en particulier, ceux du fonds mondial de lutte contre le sida et du fonds européen de développement. Il a rappelé ensuite que l'accélération des décaissements du fonds Sida constituait une avancée très positive. Il s'est déclaré favorable à ce qu'une partie des financements du fonds mondial de lutte contre le sida passe par des opérateurs bilatéraux et, en particulier, des opérateurs français qui connaissent bien les caractéristiques des pays d'Afrique francophone. Enfin, il a souligné la nécessité d'accélérer le rythme de déploiement des soins pour faire face à l'ampleur de la pandémie.