a jugé que la France devait conserver une ambition universelle et ne pas uniquement se concentrer sur l'Afrique. Evoquant les Philippines, elle a estimé qu'il était important que la France soit présente dans les pays émergents et singulièrement en Asie du Sud-est. Elle a fait observer que les crédits bilatéraux, gérés par les ambassades, étaient, dans ces pays, utilisés à bon escient avec des coûts de fonctionnement limités. Elle a indiqué que l'efficacité de l'aide bilatérale l'avait également conduite à être favorable à l'amendement déposé par Mme Henriette Martinez, à l'Assemblée nationale, qui imposait au fonds mondial de lutte contre le sida de faire transiter 5 % de ses interventions par les opérateurs bilatéraux français.