s'est interrogé sur la perception de la France au Pakistan et sur les opportunités économiques et commerciales qu'il représentait pour elle. Il a souligné l'indéniable rôle joué par le docteur Khan dans la prolifération de technologies nucléaires, notamment vers l'Iran, et a estimé que les services secrets pakistanais, qui avaient vraisemblablement favorisé cette action, avaient leur propre vision du monde, qui ne correspondait pas totalement avec celle du général Musharraf.