a souligné qu'en matière d'assistance éducative pour les mineurs délinquants, l'offre s'était diversifiée, la création des CEF ayant suivi celle des centres éducatifs renforcés (CER) et précédé l'apparition des établissements pénitentiaires pour mineurs (EPM). Elle a ajouté que l'ordonnance du 2 février 1945 sur l'enfance délinquante serait entièrement réécrite afin de rationaliser la prise en charge des mineurs.
S'agissant des tests génétiques, elle s'est félicitée de la réalisation de près de 100 millions d'euros d'économies depuis trois ans sur ce poste de dépense, au titre des frais de justice, grâce à la passation de marchés publics et à une meilleure mise en concurrence.