a rappelé que, pendant longtemps, les professionnels de santé avaient estimé qu'aucun soin ne pouvait être dispensé en milieu fermé. Elle a souligné que les indemnités de vacation des médecins dans les UHSA avaient été significativement réévaluées et que le nombre même de ces vacataires avait augmenté. Elle a, toutefois, regretté que beaucoup de délinquants souffrant de troubles psychiques ou psychiatriques refusent les soins.