a reconnu que la question de la « soutenabilité » des dépenses se posait, en soulignant qu'il fallait distinguer les charges à payer, des restes à payer en fin d'année, ce qui réduisait les marges de manoeuvre en autorisations d'engagement. Elle a, toutefois, estimé que les charges à payer, stabilisées à 80 millions d'euros fin 2007, devraient encore être réduites de moitié en 2008.