s'est félicitée de ce que la hausse des crédits du CMN ait permis de conduire 1.071 opérations en 2007, s'agissant des monuments appartenant à l'Etat, mais aussi d'apurer les dettes passées et d'engager de nouvelles actions de rénovation à hauteur de 70 millions d'euros. Elle a souligné la complexité du montage financier de ces opérations, conduites par les DRAC, et qui se sont traduites par un niveau élevé de reports de crédits. Par ailleurs, elle a relevé que 1.138 opérations avaient été menées sur des monuments n'appartenant pas à l'Etat, à hauteur de 72 millions d'euros, soit une hausse de 67 % par rapport aux prévisions de la loi de finances initiale.
Enfin, elle a précisé que l'entretien des monuments historiques représentait le quart des opérations. Concernant les distorsions entre régions, elle a relevé qu'elles reflétaient, en partie, les inégalités de la répartition des monuments historiques sur le territoire.