s'est interrogé sur le moyen d'obtenir une réduction des charges fixes pour le spectacle vivant (dont la part atteignait 67 % des dépenses totales), en déplorant les modifications méthodologiques opérées en 2008, qui faussent les comparaisons sur le long terme.
Pour Mme Christine Albanel, cet indicateur relatif aux charges fixes n'est pas adapté aux troupes itinérantes. Aussi, le champ de l'indicateur inclurait prochainement les spectacles vivants relevant des institutions régionales, ce qui entraînerait une réduction mécanique de la part desdites charges fixes.
Dans ce cadre, elle a rappelé l'objectif d'embaucher un nombre accru de professionnels sur des contrats à durée indéterminée. Par ailleurs, elle a souligné le nécessaire équilibre à trouver entre les périodes de tournées théâtrales et de création.