a rappelé que la prise en charge des frais de scolarité des enfants français à l'étranger était la conséquence d'une décision du Président de la République. Il a noté que la mesure présentait deux inconvénients : elle créait une différence au sein des établissements français à l'étranger entre les enfants de notre pays et ceux de la nationalité du pays d'accueil et conduisait à la disparition du système de prise en charge précédent qui consistait dans des bourses sous condition de ressources.
Il a considéré qu'il était bon que les entreprises contribuent au financement de la scolarité des enfants de leurs salariés expatriés. Il a fait valoir que le mois de septembre 2008 pourrait être consacré à une réflexion sur la question, à soumettre au Président de la République.