a indiqué qu'en 2007 comme les années précédentes, on constatait une sous-budgétisation des contributions de la France aux organisations internationales et aux opérations de maintien de la paix de l'ONU. Or il a montré que les besoins étaient prévisibles : l'exécution correspondait à l'évaluation faite par la commission dès la loi de finances initiale. Il a souhaité savoir si les conséquences avaient été tirées dans la perspective du projet de loi de finances pour 2009. Considérant que les sous-budgétisations étaient dues pour l'essentiel à l'inflation importante des contributions internationales, il s'est demandé comment en maîtriser l'évolution.