a rappelé qu'en 2007, les décaissements effectifs en faveur du Fonds européen de développement (FED) avaient été supérieurs aux prévisions, faisant courir à la France le risque de pénalités financières. Ces dernières années, lesdits décaissements se sont accélérés en raison de l'abondement massif de fonds multilatéraux. A cet égard, il s'est interrogé sur l'intérêt de transiter par le FED et il a jugé qu'une contribution directe de la France aux fonds multilatéraux améliorerait la lisibilité de son action et la maîtrise des crédits alloués. Il a, enfin, souhaité connaître le profil de décaissement du FED en 2008 et savoir dans quelle mesure la France, premier pays contributeur, pesait sur les orientations du fonds.