a justifié l'intervention dans les pays émergents par son faible coût, ainsi que par la nécessité d'y maintenir l'influence française et de soutenir les entreprises nationales souhaitant s'y développer. Evoquant les prêts octroyés par l'AFD au Brésil, M. Jean Arthuis, président, a toutefois manifesté un certain scepticisme à l'égard d'un mécanisme consistant à subventionner des Etats dont les fonds souverains achetaient ensuite les titres de la dette française.