a estimé que la participation de la France, grand pays agricole, devait demeurer importante. Il a regretté que les famines récentes n'aient pas été l'occasion de mettre en oeuvre des projets ambitieux en matière d'irrigation et d'intrants, et souhaité que les aides de la FAO soient davantage structurelles et permettent des améliorations pérennes dans les pays destinataires.