a salué l'analyse objective réalisée par le rapporteur spécial sur la situation du ministère et de ses opérateurs. Il a rappelé que les difficultés de l'AFICAR résultaient, en partie, de l'insuffisance des financements extérieurs et a indiqué que, faute d'engagements concrets et chiffrés à court terme, l'Etat se réservait la possibilité de ne pas prolonger l'activité de l'AFICAR au-delà de 2008. Les crédits de l'AFICAR pourraient alors être redéployés au sein du budget du ministère, dont les crédits de communication sont modiques.