a indiqué que les engagements étaient comptabilisés au démarrage effectif des travaux et précisé qu'à l'heure actuelle, seuls les travaux préparatoires avaient commencé. Il a ajouté que l'achèvement de l'opération dépendrait, notamment, de la volonté du nouveau gouvernement italien de le voir aboutir. Il a signalé que le projet Lyon-Turin ne figurerait pas dans le projet de loi issu du « Grenelle de l'environnement » puisqu'il résultait d'un accord international, mais que cette absence ne le remettait pas en cause. Enfin, il a souhaité que la plupart des grands projets d'infrastructures soient, à l'avenir, financés à 50 % par des investisseurs privés.