s'est préoccupé du choix opéré par la France de réaliser en interne, au sein de la direction générale de l'aviation civile, son logiciel de contrôle aérien ce qui ne correspond pas à la solution retenue par nos partenaires. Il s'est interrogé également sur l'augmentation du coût de formation des élèves de l'école nationale de l'aviation civile (ENAC).