a défendu le DIC, faisant valoir qu'il permettait de conserver des sportifs talentueux au sein de l'effectif de clubs français, notamment de football et de rugby. Certes, cette charge pèse sur les crédits du programme « Sport », mais il convient de « l'assumer », au regard de l'impact que peuvent avoir de bonnes performances sportives sur le moral des nations. Le rapport de M. Eric Besson sur ce sujet devrait aller en ce sens, et il est normal que les sportifs bénéficient de dispositions analogues au statut des artistes-interprètes.