a déclaré que le suivi médical complet comporte de lourdes obligations, et que, s'il avait été élargi au suivi médical partiel, l'indicateur aurait affiché un résultat de 89 %. De plus, le problème ne se pose ni pour les « grandes » fédérations, qui peuvent rémunérer des médecins à plein temps, ni pour les sportifs de très haut niveau.