a précisé qu'à l'issue du plan national de développement du sport, à la fin de l'année 2008, le prélèvement pérenne du CNDS ne correspondra plus qu'à 1,8 % des recettes de la Française des Jeux, dans la limite de 163 millions d'euros, contre un taux de 2,5 % et un plafond de 226 millions d'euros en 2008. De plus, il est nécessaire de mieux distinguer les champs d'action respectifs de l'Etat et du CNDS. Enfin, le niveau de décision d'octroi de subvention par le CNDS devrait remonter au niveau régional, et non plus départemental, afin d'éviter le « saupoudrage ».