a observé tout d'abord que ces augmentations étaient liées à une diminution des effectifs du second degré plus élevée que prévue pour l'année scolaire 2005-2006. Il a souligné également que le ministère était tributaire des données communiquées par les établissements concernant les prévisions d'effectifs, ce qui pouvait conduire à une surestimation prévisionnelle de ces derniers. Enfin, il a observé que les mesures prises en direction de l'enseignement professionnel devaient permettre une meilleure rationalisation de l'offre d'enseignement.