s'est interrogé sur les dotations du budget de l'Etat pour le financement de l'agence nationale de rénovation urbaine (ANRU). Rappelant que la trésorerie de l'ANRU était passée de 351 millions d'euros en 2005 à 710 millions d'euros fin 2007, il a considéré que cette circonstance et le retard enregistré dans la réalisation de projets complexes avaient pu justifier l'annulation d'un montant important de crédits de paiement par le projet de loi de règlement pour 2007. Il a toutefois observé l'augmentation de l'écart entre les autorisations d'engagement et les crédits de paiement qui s'élève désormais à 1,4 milliard d'euros et demandé s'il existait une évaluation du délai nécessaire à la résorption de cet écart.