a reconnu l'incidence de l'évolution des coûts de construction. Elle a estimé que les maires devaient y être sensibilisés afin de constituer rapidement leurs dossiers. Elle a toutefois estimé impossible de revoir le budget de l'ANRU de manière globale pour tenir compte de la hausse des coûts en se référant au devoir de maîtrise des déficits publics. Elle a précisé que le conseil d'administration de l'ANRU serait saisi en septembre 2008 du bilan des projets en retard et qu'il pourrait en tirer les conclusions nécessaires.