a fait valoir le caractère indispensable du prêt à taux zéro dans le cadre d'une politique de soutien à l'accession sociale à la propriété. Elle a indiqué que le PTZ avait concerné, en 2007, 244.720 bénéficiaires et que les écarts d'estimation de la dépense fiscale étaient imputables à des divergences de méthode de chiffrage entre les services du budget et la direction générale de l'urbanisme, de l'habitat et de la construction.