a constaté que les aides européennes bénéficiaient inégalement aux différentes branches de l'agriculture, soulignant qu'elles avantageaient plus les grandes cultures que la filière de l'élevage. Il a souligné que l'après-2013 risquait de se traduire par la disparition des subventions et la baisse des prix agricoles en raison de la hausse de la production.
Après avoir souligné les difficultés de cohabitation entre le tourisme et l'agriculture dans certains départements, il a en outre appelé de ses voeux le développement du télétravail, en particulier pour les activités à forte valeur ajoutée, peu soumises à la concurrence des pays à bas salaires.