En dépit du manque de moyens, ce budget contient quelques signaux. Le programme pour les projets « blancs » monte à 50 % à l'ANR, au lieu des 10 % initialement prévus : c'est une bonne nouvelle pour la liberté de la recherche fondamentale. De même pour la conditionnalité à l'embauche de doctorants des avantages fiscaux attachés au CIR. Nous nous réjouissons de voir le ministère échapper à la règle du non-remplacement d'un départ sur deux à la retraite, dont vous pouvez être fière, madame la ministre.