En réponse à une question de Mme Catherine Procaccia, qui lui demandait si les conclusions du rapport INSERM de 1996 l'avaient étonné, M. Jacques Barrot a reconnu avoir éprouvé, à l'époque, un sentiment de grande surprise, ne comprenant pas pourquoi le problème de l'amiante, qui s'était déjà manifesté dans les années 1970, n'avait pas été traité plus tôt. Il a insisté sur l'angoisse ressentie par les personnes ayant été exposées à l'amiante, qui, en raison du temps de latence très long de certaines maladies, vivent avec la crainte de développer une pathologie.