a indiqué qu'il convenait de trouver un équilibre entre les impératifs de protection des salariés et de l'environnement, d'une part, et de maintien de la compétitivité de l'industrie chimique européenne, d'autre part, sous peine d'assister à de nombreuses délocalisations. Il a précisé que ce projet serait examiné avant la fin de l'année par la Commission européenne. Il s'est enfin interrogé sur la capacité de l'Europe à porter, à elle seule, la prévention contre les risques chimiques et a souhaité une action internationale plus large sur ces dossiers.