a estimé que le souci de protéger les populations des nuisances sonores était légitime mais qu'il fallait être conscient que, de ce fait, les personnes installées avant l'implantation de l'activité aéroportuaire et les communes concernées se retrouvaient pénalisées en raison des règles d'inconstructibilité imposées. Il a néanmoins regretté que les dispositions visant à desserrer les contraintes d'urbanisme applicables en zone C prévues dans l'amendement ne visent qu'Orly, estimant que les riverains de Roissy pouvaient légitimement prétendre eux aussi à de tels aménagements.