Remarquant que les éoliennes offshore représentaient, dans la PPI, 4 000 MW sur les 18 000 MW d'éolien prévus en 2015, M. Jean-Yves Grandidier a indiqué qu'il s'agissait d'une filière présentant, d'une part, des risques industriels élevés, en raison d'un cadre juridique incomplet, notamment en ce qui concerne l'affectation et la répartition de la taxe professionnelle et le statut des concessions d'endigage, et, d'autre part, des risques techniques liés à la construction (immobilisation du capital) et à l'exploitation de ce type d'installations. Relevant notamment les difficultés pour accéder aux installations en cas de tempête, il a estimé nécessaire de développer les systèmes de contrôle à distance de ces machines.