Reconnaissant que le marché français était organisé autour de petits acteurs, M. Jean-Yves Grandidier a estimé qu'a long terme, les principaux électriciens européens seraient tenus de s'intéresser au développement de l'énergie éolienne, du fait de la croissance de ce moyen de production dans le « bouquet » énergétique. Puis, indiquant qu'à la différence de l'Espagne, les producteurs pouvaient accéder au réseau à tout instant sans avertir à l'avance du niveau de leur apport, il a concédé que cette situation ne pourrait probablement pas être maintenue.