a marqué son accord pour une audition du ministre des Affaires étrangères ou de son représentant et a rappelé le principe de l'organisation, à un rythme régulier, de débats de politique étrangère en séance publique. Il a considéré qu'une forme d'interdit intellectuel pesait sur la question palestinienne et que ce n'était pas être ami d'Israël que d'encourager ce pays à mener une politique qui, tôt ou tard, se retournerait contre lui. Il a estimé que la classe politique manquait de courage sur ce point.