a indiqué que la commission prenait acte du compte rendu de Mme Monique Cerisier-ben Guiga et se devait d'exprimer une préoccupation forte devant l'aggravation de la situation.
Il a rappelé que la France avait pris des initiatives et que le Président de la République avait rappelé les principes auxquels la France est fidèle. Il a estimé que des progrès ne pourraient intervenir qu'après les élections américaines dont le vainqueur porterait une lourde responsabilité, aussi lourde que celle du président sortant, dans le choix d'un soutien inconditionnel à la politique israélienne.