a déploré que le sanctuaire de la langue française que devraient constituer l'enseignement supérieur et la recherche soit atteint dans sa vocation francophone, comme l'illustre l'affaire de l'INSERM. Il s'est déclaré particulièrement préoccupé par le fait que l'anglais s'impose très largement désormais dans les congrès scientifiques internationaux et que le nombre de publications des revues scientifiques anglophones dépasse sensiblement celui des revues francophones.